La province de l’Ituri appelle les acteurs judiciaires à lutter contre la corruption dans l’exercice de leur fonction. appelle lancer au cour de la cérémonie de clôture de la mission de l’ONG RCN en Ituri,par le Directeur de cabinet adjoint du Gouverneur militaire qui a représenté l’autorité provinciale.Il remercie à l’occasion cette organisation étant donné que la justice sera fondé sur l’éthique et la déontologie tout en reconnaissant que le chemin est encore long. Les participants à leur tour, ont reconnu les efforts fournis par ces organisateurs étant donné que la formation reçue, suscite un respect dans l’exercice de leur métier. Retenez que l’ONG RCN arrive à la fin de sa mission en Ituri,au mois de janvier prochain qu’ils vont clôturer et fermer leurs bureau dans la ville de Bunia IBRAHIMU DHELO Partager
Ce lundi 16 décembre 2024, la Sénatrice Noëlla Bachebandey Manzalo, a adressée son message à la population Iturienne où elle revient sur le bilan global de la situation de la Province. En effet, le bilan tel que dressé par la Sénatrice N. Bachebandey est loin d’être reluisant : «l’année 2024 tend déjà vers sa fin, l’Ituri ma province d’origine, continue de traverser les moments les plus durs et sombres de son histoire, à cause de multiples cas d’insécurité dans ses différentes entités territoriales» peut-on lire en liminaire. Elle note tout de même la posture positive de la population caractérisée par une résilience face aux turbulences vécues et un engagement à rechercher la paix. Ce dont, la Sénatrice Noëlla Bachebandey s’en félicite et recommande plus d’efforts dans ce sens: «C’est ici l’occasion pour moi d’appeler toute la population au calme et à réfléchir sur l’avenir de notre Province qui, au départ de démembrement, était placée comme l’une des Provinces pilotes à côté de celle de Lualaba mais qui malheureusement aujourd’hui, notre Province de l’Ituri stagne à cause de l’insécurité» regrette la Sénatrice. Elle conclut par quatre principales recommandations aux groupes armés, au Gouvernement de la Republique, aux Forces armées de la République et à la population à utiliser tous les moyens nécessaires pour venir à bout de la situation d’insécurité et surtout de multiplier les efforts pour une paix durable en Ituri. Rédaction. Partager
Levée ce samedi de la morgue pour les hommages officiel au palais du peuple,le corps du grand baobab de la grande orientale a reçu les derniers hommages du président de la République,des députés ainsi que de sénateurs et les membres du gouvernement. Présent à cette cérémonie,La Sénatrice Noella BACHEBANDEY a reconnu de l’illustre disparu son combat à faveur d’épanouissement de la jeunesse dans la grande orientale en générale et de L’ituri en particulier.<<le grand notable et baobab AUTSAI ASENGA Médard était un homme conciliant,ouvert et optimiste qui a su offrir des opportunités à plusieurs centaines des jeunes dans les services tant provinciaux que dans l’administration publique sous son règne,ce qui fait de lui,une icône de la scène politique non seulement Iturienne mais de toute la RDC pour son combat en faveur de la mise en œuvre des dispositions constitutionnelles relatives à la décentralisation nous apprend les archives>>avait dit la Sénatrice Noella . Tout en regrettant cette disparition de celui qui a fait la fierté de L’ituri,cette élue des élus ituriens croit la mémoire de Médard restera gravée dans le cœur de tous les ituriens. Rédaction Partager
Le reboisement pour lutter contre le réchauffement climatique est l’affaire de tout le monde. C’est parmi les principales recommandations du Directeur provincial du Fonds Forestier National de l’Ituri en marge de la célébration de la journée nationale de l’arbre célébrée le 12/12/2024. Selon Mussa Abdallah, l’accompagnement du Gouverneur militaire de l’Ituri s’avère nécessaire pour le plaidoyer au niveau national afin que la Province de l’Ituri bénéficie du programme présidentiel qui vise la restauration de 8 millions d’hectares de terres dégradées d’ici 2030 par toutes les couches sociales de la population. En se référant au code forestier dans son article 78 qui stipule que la reconstitution des terres forestières incombe à l’État Congolais en travers les entités territoriales décentralisées, les exploitants forestiers, les concessionnaires ainsi qu’aux communautés locales. Ce projet du Chef de l’État pour la restauration de 8 millions d’hectares qui seront effectués sous la supervision du ministère de l’environnement chargé des forêts dans les procédures fixés aux ministres ayant les forêts en République démocratique du Congo et qui rentrent dans ses attributions car le modèle des forêts sont l’agriculture surbrûlus étant donné les poids de carbonisation des exploitants forestiers illicites a atteint son paroxysme. Sur un total de 8 millions d’hectares sur toute l’étendue de la République, ils seront réparti dans les 26 provinces à reboiser, ce qui fera plus au moins 51.280 hectares par an soit un coût en dollars américains 92 millions 307.600 dollars américains. Dans ce même programme, il a été dit que celà ne concerne pas seulement le Fonds Forestier National, FFN en sigle, mais qu’il faille l’implication de tout le monde pour le reboisement en vue de lutter contre le réchauffement climatique en République démocratique du Congo. Ibrahim DHELO David Homage à notre Baobab,Honorable Médard AUTSAI ASENGA. Partager
Ceci ressort d’un atelier de formation de 4 jours à l’hôtel de la Province à Bunia organisé par l’ONG RCN Justice&Démocratie. A l’issue de cet atelier clôturé jeudi 12 décembre 2024 et qui a connu la participation des acteurs judiciaires de la ville de Bunia, lauréats du prix 2024 avec des thèmes comme intégrité, ethnique professionnelle et lutte contre la corruption. «Les participants, à l’issue de cette formation, doivent être des précurseurs pour éradiquer la corruption qui ronge la nation congolaise» a insisté madame Emmanuella Burume, cheffe de la mission RCN Justice&Démocratie en Ituri. Et pour le représentant des participants en la personne du Premier-président de la cour militaire, le Colonel Dienga Akelele, cette série de formation permet d’acquérir des nouvelles connaissances et qui ne doivent pas rester à la sourdine mais de les mettre en pratique pour aider les autres car les acteurs judiciaires sont les éclaireurs au pays et dans la société étant donné la corruption est devenue monnaie-courante dans plusieurs secteurs de la vie. «J’exhorte mes collègues du secteur judiciaire à se liguer en équipe pour affronter ensemble ce fléau dans la société pour que la nation congolaise soit forte» a-t-il souligné. À lui d’ajouter que, désormais grâce à cette formation, la Province de l’Ituri a déjà un noyau dynamique pour la lutte contre la corruption. Quant au facilitateur, le Professeur Joseph Ngwabika, les participants doivent honorer tout ce qu’ils ont appris durant ces jours en mettant en pratique les notions apprises pour le bénéfice de la société Iturienne et de la République démocratique du Congo. Ibrahim DHELO David Partager
Devenue habitude chez l’unique élue sénatrice de la Province de l’Ituri, Noëlla Bachebandey, à travers son équipe a assistée la semaine passée le centre de santé de Lodjo en apportant des matelas et de draps pour la literie de cette structure sanitaire qui était en très mauvais état ainsi que des essuie-mains au bénéfice de la population de Lodjo qui regagne ce coin après les attaques intervenues l’année passée où tout le village avait connu d’importants dégâts matériels. Ce geste de la Sénatrice Noëlla Bachebandey s’ajoute à la récente assistance du mois d’octobre 2024 où des centaines de population autochtone communément appelée Pygmées en vivres et non vivres notamment des habits pour hommes et femmes, des bidons et autres articles ménagers ainsi que des sels et huiles pour ne citez que cela. «Nous allons continuer à mettre à la disposition de nos compatriotes le peu d’assistance selon les moyens que nous disposerons» a indiquée à la rédaction la Sénatrice N. Bachebandey. Il est à noter que bien même avant d’être élue, la Sénatrice Noëlla Bachebandey a toujours tournée son attention en faveur de la population vulnérable et les plus démunis en apportant selon ses moyens l’assistance et en menant des lobbies pour des interventions humanitaires. Ce qui lui avait value le nom de «Maman sociale» par les habitants de la région minière où elle exerçait comme gestionnaire de la société Sous le palmier. Selon la cellule de communication de la sénatrice Noëlla Bachebandey, elle a entamée des plaidoyers et lobbies pour obtenir de l’aide supplémentaire pour le centre de santé de Lodjo qui, selon les évaluations, nécessite une réhabilitation complète et une dotation en moyens énergétiques pour la conservation des vaccins. Rédaction. Partager
L’inauguration officielle des activités dans la nouvelle coordination provinciale des écoles conventionnées catholiques de l’Ituri pour le compte de deux diocèses notamment celui de Mahagi-Nioka et de Bunia a eu lieu le Mercredi 27 novembre 2024. Les activités ont été lancées par l’évêque du diocèse de Bunia, Dieudonné Uringi. Le nouveau bureau gestionnaire a été créé par l’arrêté du ministre national de l’éducation signé le 24 février 2023, portant restructuration de bureau gestionnaire dans l’ancienne province orientale puis notifié par une lettre de secrétariat général en vue de scinder en quatre le bureau de la coordination provinciale de la province ecclésiastique de Kisangani qui gérait jusque-là l’ensemble des écoles conventionnées catholiques de 9 diocèses. C’est ainsi que quatre nouvelles coordinations provinciales sont nées ayant leurs sièges à Kisangani, à Buta, à Isiro et à Bunia. Selon le nouveau coordinateur des écoles catholiques de l’Ituri, la nouvelle coordination provinciale dont les activités viennent d’être lancées, la coordination de l’Ituri regroupe les écoles du diocèse de Bunia et de Mahagi-Nioka notamment celles situées dans la ville de Bunia celles des territoires d’Irumu, de Djugu, de Mahagi et d’Aru. Elle est dénommée Coordination Provinciale des Écoles conventionnées catholiques de l’Ituri avec son siège dans le diocèse de Bunia. «Cette décentralisation permet ainsi aux deux diocèses d’avoir une structure rapprochée de l’administration centrale de la province de l’Ituri afin de servir des partenaires aux structures de l’Etat congolais au niveau de la province administrative pour une bonne gestion des écoles conventionnées catholiques pour le compte de 3 provinces éducationnelles notamment Ituri 1, Ituri 2 et Ituri 3» a souligné Abbé Willy-Rogatien. C’est ainsi que l’évêque du diocèse de Bunia, Mgr. Dieudonné Uringi a célébrée la messe à l’intention des agents, les chefs d’établissements et les autorités invités pour l’événement où il les a appelé à beaucoup plus d’assiduité dans leur rôles d’éducateur. «Malgré l’Etat congolais ne considère pas le travail des enseignants, continuez toujours à donner des belles éducations aux enfants, car vous les méritez déjà, et continuez à prier pour nos dirigeants du pays» a exhorté Mgr. Uringi. Notez que la célébration de cette messe inaugurant la coordination provinciale des écoles catholiques de l’Ituri fut l’occasion aussi de décerner les brevets aux trente-quatre (34) enseignants jubiliaires qui ont enduré dans l’enseignement sous l’insigne de Saint Albert le Grand, patron de l’enseignement au diocèse de Bunia. Rédaction Partager
La kermesse pour la paix va s’ouvrir sauf imprévue ce samedi 30 novembre re 2024, une initiative du Chef des travaux Didier Likele sous le haut patronage du Gouverneur militaire de L’Ituri, Johnny Luboya N’Kashama.Selon l’organisateur, la vision de cette activité culturelle de grande portée est notamment de montrer à la face du Monde le potentiel que renferme l’Ituri dont la population est victime de cycle des violences mais aussi d’apaiser les tensions pour permettre aux Ituriens de se divertir, de danser et d’essayer de vivre en dépit de l’insécurité. «Permettre aux artistes et personnalités de lancer des messages de paix devant une grande masse car la Province de l’Ituri sous état de siège pour raison d’insécurité et de manque de paix mais elle est une province porteuse d’espoir» affirme M. Likele. Cette kermesse qu’il organise s’inspire du Festival Amani dont la dixième édition avait ouvert ses portes en date du 10 novembre dernier car ladite Kermesse de la Paix en ville de Bunia vise à ce qu’un jour l’Ituri puisse bénéficier aussi de son « Festival Amani » dans les années à venir afin de faire la promotion principalement de la Cohabitation pacifique entre filles et fils de cette riche province. «Mais en attendant, nous aurons la Kermesse de la paix qui requiert le soutiens de tous» souligne M. Likele. Rappelons qu’elle va s’ouvrir ce Samedi 30 Novembre 2024 au Terrain de l’Espace Vert EPO, Ville de Bunia et se clôturera le 1er Janvier 2025. L’organisateur lance ainsi un dernier appel aux autorités, ONG, entreprises locales, artistes locaux et d’ailleurs de jouer leur partition pour la bonne réussite de cette initiative. Rédaction. Partager
Dans un message d’alerte ce mercredi 27 novembre le Chef d’antenne du service de la Protection civile pointe du doigt accusateur les nombreux cas de tracasserie orchestrés par ce groupe armé venu récemment de la Province voisine Nord-Kivu pour y installer une «position en vue de stopper l’avancée des M23» avait argué le commandant de ce groupe armé des volontaires aux côtés des Fardc. «L’activisme des groupes armés Maimai dits « Wazalendo » continue à impacter négativement sur la protection dans les entités se trouvant sur l’axe Biakato-Makeke dans la Chefferie de Babila babombi en Territoire de Mambasa» peut-on lire dans l’alerte de M. Robert Ndjalonga, numéro 1 de la Protection civile en Ituri. À lui d’ajouter«Depuis un temps, à part plus de 5 positions situées à l’Est de Biakato, sur l’une position placée à Mangina, (limite entre l’Ituri/Mambasa et le Nord Kivu), il est signalé les cas de recrutement des enfants dont l’âge varierait entre 10 et 14 ans dans les villages Makeke, la Chefferie de Bela, et Kukuya en Groupement Mambembe dans la Chefferie des Babila Babombi par ce groupe armé» note-t-il avec regret. A cet acte qui constitue la violation de la protection de l’ enfant, il y a nécessité de prendre des mécanismes pouvant amener à décourager cette pratique et à encourager ou à capitaliser les pratiques cadrant avec les droits de l’enfant en impliquant toutes les parties concernées. L’on se souvient que plusieurs organisations de la Société civile et autres acteurs sociopolitiques dont Députés nationaux et sénateurs ainsi que le Parlement des Jeunes de l’Ituri s’étaient opposés à l’installation de ce groupe armé dans la Province de l’Ituri plus précisément en Territoire de Mambasa. Rédaction. Hommage au Baobab Partager
Lors de la visite officielle de la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka en Ituri, plusieurs doléances lui ont été présentées par les acteurs sociopolitiques que de la Société civile forces vives de l’Ituri le samedi 23 et le dimanche 24 novembre 2024. Au nombre de ces revendications, le blocage par le Gouverneur militaire des droits sociaux pourtant garantis par l’ordonnance numéro 21/016 portant mesures d’application de l’état de siège. Ce qui constitue une violation flagrante de ladite ordonnance a affirmé à la presse le Député provincial Pele Kaswara Tahigwomu, Rapporteur de l’Assemblée provinciale de l’Ituri. «Les Députés provinciaux de la mandature passée ainsi que les agents et cadres du gouvernement provincial en veilleuse accusent plus de 33 mois d’impaiement. Nous aussi, nouveaux élus provinciaux, nous ne sommes pas payés pourtant l’ordonnance numéro 21/016 stipule à son article 1er alinéa 3 que les droits sociaux des Assemblées et gouvernements provinciaux sous état de siège sont garantis» a souligné le Député P. Kaswara. Par ailleurs, la même source a fustigé la propagande autour de la modernisation de la Ville de Bunia faussement attribuée à l’administration militaire pourtant c’est un investissement du niveau central en faveur de la Province de l’Ituri. Les recettes provinciales prévues pour la modernisation ne sont pas allouer à ces travaux et ne sont pas contrôlées. «Raison pour laquelle, nous demandons tout simplement la levée de l’état de siège car les raisons pour lesquelles il a été décrété à savoir l’éradication de l’insécurité et des groupes armés n’ont jamais été résolues mais se sont davantages détériorées» conclut le Député Kaswara. Dans la foulée, la Première Ministre Judith Suminwa Tuluka a promis se pencher urgemment sur ces différents dossiers des paiements des avantages sociaux une fois arrivée à Kinshasa. Rédaction. Hommage au Baobab Iturien Partager