Tout est parti d’un contrat d’érection du nouveau bâtiment dans de concession réservée à la division de travaux public et Infrastructure de l’Ituri à Bunia où madame Bijoux DJAMBA avait confié les travaux à ces ingénieurs et Agent mise à sa disposition. La qualité de réalisation de ces travaux après évaluation n’a pas été satisfaisante, le CD a pris l’initiative d’utilisé la main d’œuvre extérieure, chose qui
n’a pas plu à ces agents et se sont mis à s’attaquer à leur cheffe par la simple raison
qu’elle est du genre féminin et ne pouvait pas engager les travaux sans leur Aval. Pour leurs intérêts égoïstes, ces ingénieurs veulent voir le remplacement de Bijoux Djamba de son poste. Un acte qui viole les droits de la femme et qui freine la
promotion et l’épanouissement de la femme visant à accéder aux postes de prise de décision.
D’autant plus que les femmes ont le même droit que les hommes, celui de participer à la gestion des choses publiques. Cependant, les hommes feraient mieux
d’apprendre à assurer aux femmes l’égalité d’accès et la pleine participation aux niveaux décisionnels, pour renforcer les capacités de ces dernières, afin de leur
permettre d’exercer des responsabilités paritaires.
Dans une interview accordée à la presse, Bijoux DJAMBA cheffe de ce service de
l’Etat a affirmé qu’elle est combattue parce que ces agents constitués en majorité
des hommes, ne tolèrent pas d’être dirigés par une femme.
« Quant à moi, je pense qu’ils sont entrain de souffrir de complexe. Ils me combattent
parce que je suis une femme, ils sont assoiffés du pouvoir, c’est pourquoi ils
cherchent à tout prix comment nuire à ma personnalité » s’est-elle elle expliquée Bijoux DJAMBA.
Par conséquent, les structures impliquées dans la promotion de la femme sont appelées à la mobilisation pour dénoncer le comportement discriminatoire à l’égard de la femme.
AVIMED, Charlie OMBA