Aux environs d’une heure d’hier du matin, du samedi 27 septembre, un militaire des FARDC (Forces Armées de la République démocratique du Congo) a ouvert le feu sur ses compagnons d’armes dans un bistrot en commune de Lubero au Nord-Kivu. Cette fusillade a fait deux (2) morts par les militaires FARDC. Une dispute autour d’une femme a été l’élément déclencheur de ce double cas de meurtre renseignent plus d’une sources formelles à Lubero. Si les corps des victimes sont déjà à la morgue de l’hôpital général de référence de Lubero, l’auteur de la fusillade est déjà aux arrêts. Contactée, l’autorité territoriale de Lubero a certifié la triste nouvelle. Le lieutenant colonel Alain Kiwewa a indiqué que le militaire incriminé est déjà transféré à l’auditorat militaire de Lubero pour instruction du dossier. C’est ne pas la première fois qu’une bavure similaire s’enregistre en territoire de Lubero. En août dernier, un enseignant d’une école primaire était tiré à bout portant par un homme en uniforme à Buyinga en chefferie des Baswagha. Un mois après, un autre civil était abattu par un soldat près de Njiapanda toujours en territoire de Lubero. MB Joseph Partager

En territoire de Punia au Maniema, l’échange des tirs a opposé les militaires FARDC ( Forces Armées de la République démocratique du Congo) aux combattants Wazalendo le vendredi 26 septembre. La position de l’armée nationale située à Yumbi a fait objet d’une attaque pendant les heures d’après midi. Ces combats ont entraîné une psychose dans le chef de la population. D’autres sources renseignent que certains habitants ont fuis massivement cette entité pour s’installer dans le milieu estimé sécurisé. Outre ces mouvements de la population, ces accrochages auraient fait deux (2) morts parmi les belligérants soulignent des sources non officielles en territoire de Punia. Pourquoi les éléments Wazalendo ont-ils lancé l’offensive contre la position des forces loyalistes ? Cette question nourri le débat à travers la province de Maniema. C’est la deuxième fois que ces deux (2) parties s’affrontent au Maniema en l’espace deux (2) mois. En août dernier, ces deux (2) camps s’étaient accrochés à Kindu, chef-lieu du Maniema, accrochage qui avait coûté la vie à plus de neuf (9) personnes. MB Joseph Partager

Les rebelles ADF (Allied Democratic Forces) ont tendu une embuscade meurtrière contre les usagers du tronçon Oicha-Mamove, territoire de Beni au Nord-Kivu ce vendredi 26 septembre 2025. Plus d’une sources formelles à Oicha, chef-lieu du territoire de Beni signalent qu’il s’agit d’un camion de marque Fuso qui a été ciblé l’avant midi de ce jour. Le bilan provisoire fait état de huit (8) morts au côté des blessés et des biens brûlés en bord du camion. Les personnes embusquées étaient en partance pour le marché de Mamove. Si certains corps sont déjà évacués à la morgue de l’hôpital général de référence d’Oicha, le camion Fuso et quatre (4) motos donnent encore de la fumée sur le lieu de l’attaque.Cette attaque intervient quelques jours après l’incursion des égorgeurs ADF ( Allied Democratic Forces) à Mbau, ou ils ont exécuté près de cinq (5) civils. MB Joseph Partager

Un corps sans vie d’un homme a été retrouvé ce vendredi 26 septembre à Katondi, territoire de Lubero au Nord-Kivu. Ligoté, ce corps a été découvert abandonné sur la voie publique.Un habitant de la place a certifié l’information sous le sceau de l’anonymat. « (…)Nous avons retrouvé un corps sans vie d’un homme ce vendredi matin dans notre entité. Il était ligoté aux deux membres », a-t-il rapporté. Les auteurs et les circonstances liées à cette tragédie demeurent opaques. « Nous ne savons les auteurs de ce cas de meurtre. Son corps sans vie a été levé du lieu de l’incident pour sa famille grâce au concours des volontaires secouristes de la Croix-Rouge ».Signalons que cette entité est sous contrôle des rebelles du M23 (Mouvement du 23 Mars) depuis le mois de janvier dernier. MB Joseph Partager

Depuis le lundi 22 septembre, soixante-deux (62) prévenus sont devant la bar en ville de Beni au Nord-Kivu. Parmi eux, deux (2) collaborateurs de la rébellion ADF (Allied Democratic Forces) qui ont été condamnés à dix (10) ans de prison ferme par le tribunal militaire de garnison de Beni. Collaboration avec les rebelles avec à la clé leur ravitaillement en produits de première nécessité telle est l’infraction qui pesait sur ces deux personnes condamnées. Selon le ministère public, ce procès se tient en ville de Beni avec comme objectif d’ordre pédagogique et dissuasif contre tout habitant entretenant de relation ou mieux collaboration avec l’ennemi dans la zone. MB Joseph Partager