Le gouverneur du Bas-Uélé, Mike-David Mokeni, a annoncé la publication imminente de son nouveau gouvernement provincial à l’issue du dernier Conseil des ministres tenu le 23 octobre 2025 à Buta. Il a remercié les membres de l’équipe sortante pour le travail accompli. Lors de la réunion, le ministre provincial de l’Intérieur a présenté un rapport confirmant une situation sécuritaire globalement calme dans la province. Le Conseil a également adopté le projet de création de la Société Minière du Bas-Uélé (SOMIBU), chargée d’obtenir des permis miniers et de lancer les activités d’exploitation au profit de la province. Chadrack KAMBA Partager
les deux parties au conflits ont decider a La Force démocratiques de Libération du Rwanda (FDLR) de déposer les armes et à se rendre aux autorités congolaises ou à la MONUSCO en vue de leur rapatriement dans, leur pays d’origine, le Rwanda. Dans un communiqué signé par son porte-parole, le Général major Sylvain Ekenge, les FARDC rappellent ainsi » à tous leurs militaires l’interdiction de collaborer, d’une manière ou d’une autre, avec les FDLR. Toute violation de cette consigne permanente expose son auteur à des sanctions sévères ». Au lendemain de la chute de Goma et Bukavu et après l’échec du processus de Luanda, l’accord de Washington et le processus de Doha sont les deux volets complémentaires des initiatives diplomatiques majeures visant à mettre fin aux conflits persistants dans l’Est de la RDC, en particulier ceux impliquant le Rwanda et les groupes armés, comme le M23. Après la signature de l’accord de Washington entre la RDC et le Rwanda sous les auspices des États-Unis d’Amérique, les discussions se poursuivent à Doha dans le but de compléter l’accord de Washington en abordant les dimensions internes du conflit, notamment la restauration de l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire et la réintégration des groupes armés. Chadrack KAMBA Partager
Un jeune homme renommé Baraka s’est pendu la nuit du Mardi 21 octobre au 22 octobre 2025 à Makangalo, un centre de négoce situé à plus au moins 10km à l’ouest de Biakato centre dans la chefferie de Babila Babombi groupement Teturi en territoire de Mambasa. Selon Ram’s Malikidogo de la convention pour le respect des droits humains (CRDH) Mambasa, tout a commencé par un conflit conjugal avec son épouse du nom de Kavugho Aziza, après le souper, cette dernière a accompagné le frère de Baraka et fort malheureusement, Aziza a tardé, dès son retour elle trouva son époux Baraka Pendu à la porte de la maison. Le corps a été levée la matinée de ce Mercredi 22 octobre 2025 par un opj sur ordre du procureur. Il sied de noter que pendant cette année 2025 la CRDH Mambasa a documenté au moins 15 cas des pendaisons volontaire à Mambasa. IBRAHIM DHELO David Partager
L’Ituri s’apprête à franchir une nouvelle étape dans ses efforts de stabilisation. Une mission conjointe Interpeace–UNOPS, conduite par le Représentant Pays d’Interpeace en République démocratique du Congo, Pacifique Borauzima, a rencontré le gouverneur militaire de la province, le lieutenant-général Johnny Luboya N’Kashama, pour discuter de la mise en œuvre de la phase 3 du Projet Fonds pour la consolidation de la paix, financé par la Banque allemande.« Les échanges avec l’autorité provinciale militaire avaient pour objectif notamment de discuter de la mise en œuvre de la phase 3 du Projet Fonds pour la consolidation de la paix financé par la Banque allemande», a expliqué Pacifique Borauzima.Il a précisé que « ce programme vise à construire des infrastructures sociales durables pour renforcer la cohésion entre communautés, et à cet effet, il constitue une réponse directe aux défis liés aux conflits et au vivre-ensemble ».Le projet concerne quatre provinces : le Nord-Kivu, le Sud-Kivu, l’Ituri et la ville de Kinshasa. L’Ituri a été choisie comme province pilote pour cette nouvelle phase, a souligné le Représentant Pays d’Interpeace.Cette initiative s’inscrit dans la droite ligne de la vision du chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui prône la restauration d’une paix durable. En pleine période d’état de siège, ce projet porté sous le leadership du gouverneur militaire Johnny Luboya N’Kashama apparaît comme un levier stratégique pour renforcer la stabilité et favoriser la réconciliation dans la province. Chadrack KAMBA Partager
Le colonel Mande Bwemba Robert a clôturé ce mardi 21 octobre sa mission d’itinérance par un grand meeting populaire organisé au centre commercial de Kasenyi, dans le secteur des Bahema Sud.Sa mission visait à témoigner de la solidarité des autorités envers la population locale, récemment éprouvée par une attaque des miliciens de la CRP dans la nuit du 5 au 6 octobre 2025, qui a semé la psychose dans la région. Devant une foule nombreuse, le colonel Mande Bwemba Robert a délivré un message de réconfort et d’unité, réaffirmant l’engagement des autorités territoriales et des forces de sécurité à renforcer la protection des civils et à restaurer la paix dans cette partie du territoire. « Nous sommes ici pour vous écouter, pour comprendre vos souffrances et pour réaffirmer que l’État est présent à vos côtés », a déclaré l’administrateur intérimaire dans son discours. Le chef de secteur des Bahema Sud, André Kataloho Takumara, a salué cette initiative, qu’il considère comme un geste fort de proximité et de considération envers les habitants. « Le fait que l’administrateur ait pris le temps de venir jusqu’à Kasenyi témoigne de son attachement à la paix et au bien-être de notre population », a-t-il affirmé. Les habitants, venus de plusieurs localités environnantes, ont profité de cette rencontre pour soumettre leurs préoccupations : les tracasseries attribuées à certains militaires, la réglementation de la pêche sur le lac Albert, ainsi que la présence persistante des miliciens de la FRPI sur les eaux du lac. Ces échanges directs ont permis à la population d’exprimer librement ses attentes, et à l’autorité territoriale de prendre note des priorités locales. Cette descente à Kasenyi, entamée le dimanche 19 octobre, a été ponctuée par plusieurs activités, dont une réunion élargie du comité de sécurité et des consultations communautaires, avant de se conclure par ce meeting populaire Chadrack KAMBA Partager
Après plusieurs mois d’accalmie, la ville de Goma a de nouveau été plongée dans la peur au cours de la nuit du lundi 20 à ce mardi 21 octobre 2025. Des détonations d’armes lourdes et légères ont été entendues pendant plusieurs heures dans certains quartiers, notamment du côté de Mugunga, dans l’ouest de la ville.Selon plusieurs témoins, les coups de feu ont retenti jusque tard dans la nuit, semant la panique parmi les habitants. Pour l’instant, l’origine de ces tirs ainsi que l’identité des auteurs demeurent inconnues, aucune source officielle ne s’étant encore exprimée à ce sujet.Il convient de rappeler que la veille, dimanche 19 octobre, des affrontements violents avaient opposé les résistants Wazalendo aux rebelles du M23-AFC dans le territoire de Nyiragongo, au nord de Goma. Ces combats avaient déjà fait plusieurs morts et blessés parmi les civils, selon des sources locales. Chadrack KAMBA Partager
Les redditions ont été enregistrées dans les territoires de Rutshuru, Masisi et Walikale, dans la province du Nord-Kivu, ainsi qu’à Kalehe, dans le Sud-Kivu. La majorité de nouveaux rendus sont des civils enrôlés de force, mais également d’anciens soldats des FARDC et des policiers enlevés dans les villes de Goma et Bukavu.« Leurs témoignages confirment les traitements inhumains et les exactions commises au sein du mouvement rebelle »Parmi les rendus, le commissaire principal Moto Makala Johnny a livré un témoignage accablant, évoquant des conditions de vie dégradantes et une peur constante dans les rangs de l’AFC/M23.Il affirme avoir fui « pour sauver sa vie » et appelle ses anciens compagnons d’armes à « se rendre et à rejoindre les FARDC ».Les ex-combattants ont été pris en charge et seront transférés dans un site sécurisé.Le général de brigade Muhondosi Muyuwa Constantin, commandant de la 34e région militaire, a réitéré son appel à la reddition des membres du M23 encore actifs. Chadrack KAMBA Partager
Dans une mise au point parvenu à notre rédaction, le responsable de la société sous le palmier qui effectue les travaux sur axe Iga-Barrière-Mongbwalu parle des chantages d’un concurrent à mal de positionnement qui cherche éperdument à décrocher un contrat sur le même axe. Selon le Dignitaire d’Etat,Honorable Bachebandey Atandele, toutes les accusations de tracasseries et autres portées contre son entreprise sont infondées « les barrières érigées par les militaires des FARDC les sont pour besoin de sécurité en vue de contrôler la circulation d’armes et autres effets militaires étant entendu la zone reste instable suite aux groupes armés qui y pillulent » peut-on lire dans son communiqué. Avant de conclure « la société sous le palmier se réserve, pour la prochaine occasion, le droit d’ester en justice contre les personnes qui persisteront à salir son image de marque en portant des fausses accusations sur ses différentes réalisations « conclut-il. Il est à noter que c’est depuis plus de deux ans que l’entreprise sous le palmier de Monsieur Bachebandey Atandele mène des travaux de maintenance sur la route Mongbwalu. Et pas plus tard que la semaine passée, elle venait de réhabiliter le pont Abombi à plus ou moins 7 km de la Cité minière de Mongbwalu grâce au financement conclu par le gouvernement provincial. Rédaction. Partager
« Renforcer la collaboration bilatérale pour la sécurité des pêcheurs sur le lac Édouard et la coopération des pêcheurs et les services ougandais » etait au centre d’une assise tenu dans la ville de butembo le week-end dernier. Les parties prenantes envisagent la possibilité d’ouvrir une liaison ou une connexion aérienne entre les villes transfrontalières de deux pays, collaborer pour lutter contre la criminalité transfrontalière, la fraude et la contrebande », a déclaré Anselme Kithakya, lisant le communiqué final. »Le développement économique et social entre ces deux pays va permettre d’endiguer la violence, la criminalité, l’activisme des groupes armés et ainsi favoriser la restauration de la paix », a indiqué pour sa part le général Evariste Kakule, gouverneur militaire du Nord-Kivu. Chadrack KAMBA Partager
C’est à l’occasion d’une grande réunion réunissant toutes les forces vives de l’ituri ténue du 16 octobre à Bunia chef lieu de la province de l’ituri rendue publique ce 18 Octobre 2025.D’après la société civile forces vives de l’ituri par la voix de son Coordonnateur Dieudonné Lossa Dhekana, recommande aux autorités de l’état de siège » de traquer les miliciens de la Codeco de Monsieur Bassa Zukpa, qui tuent tous les jours à Djugu, au même titre que la CRP de Thomas Lubanga car les éléments de la Codeco torturent et massacrent les civils sans être inquiétés par les Fardc, »Fardc de traquer les miliciens de la Codeco a-t-il dit.Pour cette dernière dénonce les exactions des miliciens, l’indifférence dans le coût de Vie des populations à territoire de Djugu notamment sur la situation sociale, sécuritaire et humanitaire .Il sied de noter à l’intervalle de deux mois seulement soit du 15 Août au 16 octobre 2025 au moins 45 personnes massacrées par la Codeco à Djugu au côté des maisons incendiés, pillage des bêtes et destruction des produits champêtres à Djugu aux yeux des forces loyalistes de la République démocratique du Congo, c’est ainsi demande la communauté internationale de voir cette affaire. IBRAHIM DHELO David Partager