*Par la voie d’une déclaration adressée à la presse de Butembo ce lundi 04 août 2025, Katsuva Bienfait Matata l’un des portes paroles des victimes des conflits fonciers en ville de Butembo a répondu à son dectracteur, Me Moïse Kikondo au sujet des dérives de l’appareil judiciaire dans cette entité. Cet acteur socio-charistique du changement, Katsuva Bienfait Matata ballaiye ses accusations qualifiées aussi bien des diffamatoires que des politiques.* « Ce juriste-politicien tente d’inverser les rôles en transformant les bourreaux en victimes, uniquement pour en faire des clients dans une stratégie de marketing judiciaire » a-t-il répondu. *La genèse de cette guerre médiatique* Il y a quelques semaines que les outils locaux de sécurité ont arrêté en ville de Butembo, un groupe d’hommes qualifiés par la population locale de tirreurs de fissel dans un conflit foncier à Kitakandi, à l’Est de la ville. Quelques jours après, maître Moïse Kikondo avait introduit un recours demandant la libération de ces supposés semeurs de trouble sur la colline de kitakandi non seulement à l’auditorat militaire de Butembo mais aussi de Beni, recours qui avait été rejeté par les autorités de ces instances judiciaires. Depuis lors, ces deux (2) personnalités se regardent à chien et chat. Au sujet d’une plainte déposée contre lui au tribunal de paix se rapportant à l’affaire foncière opposant la population civile à Malo-Mumetya, Katsuva Bienfait Matata n’a pas gardé silence. »Nous seront présent à l’audience prévue le 08 août. Nous défendrons avec détermination et courage, la vérité face aux puissants qui veulent museler les sans-voix », a-t-il promis. Et d’ajouter : »
Le rapport du 28 décembre 2024 rédigé par une sous commission mandatée par le maire de Butembo sur instruction du gouverneur du Nord-Kivu a clairement identifié les propriétaires légitimes de ce lopin de terre. Que personne ne vous prenne en otage avec des faux documents ».Au final, ce porte parole des victimes des conflits fonciers en ville de Butembo insiste sur le dialogue dans le but de régler cette problématique. »Pour une paix durable, seul le dialogue sincère et inclusif est capable de de désamorcer les conflits. Les attaques personnelles ne porteront aucune solution à ce différend », a-t-il chuté.
La rédaction centrale
