Après une nouvelle tuerie des civils attribuée à la milice CODECO ce mardi 29 avril, la Sénatrice Noëlla Bachebandey M a exprimé son indignation en travers un communiqué rendu public ce où ces inciviques ont fauché les vies de 3 personnes au village Aludja, dans le groupement d’Itendey, selon des sources locales. Dans cette déclaration, la Sénatrice Bachebandey a condamné ces actes, qu’elle qualifie de sabotage contre une population aspirant à la paix tout en appelant les autorités à prendre des mesures strictes pour rétablir la cohabitation pacifique. Selon elle, l’état de siège et le déploiement des forces de l’UPDF sont essentiels pour protéger les civils, victimes des atrocités perpétrées par les groupes armés. «Alors que nous pleurons nos morts, nous devons laisser nos autorités prendre des décisions sévères pour restaurer la paix et la cohabitation pacifique. L’état de siège et l’intervention de l’UPDF sont nécessaires pour protéger cette population vulnérable », a-t-elle soutenu. La Sénatrice Noëlla Bachebandey M. a également interpellé la communauté Lori, l’exhortant à sensibiliser sa jeunesse pour que Djugu et le secteur retrouvent leur quiétude d’antan. Elle a réitéré sa demande de traduire en justice les responsables des milices, affirmant qu’ils ne doivent pas être considérés comme des partenaires de paix. Enfin, elle a souligné l’urgence d’une intervention robuste pour restaurer la paix et protéger les civils, devenus cibles des groupes armés dans toute la Province. Rédaction. Partager
C’est au cours de la cérémonie funéraire de ce mardi que la Dynamique Noella BACHEBANDEY a présenté le mot de condoléance de son autorité morale à l’endroit de la famille de l’artiste Young be. « » Ton oeuvre restera gravé dans la mémoire des Ituriens,et le monde musical en général. Ton message de paix et d’humour vont nous manquer,tu es un ambassadeur de Paix parce que tu es décédé dans un contexte de préparation d’un événement pour la paix » »on pourrait suivre dans un message lit par son Coordonnateur Emmanuel BELIMBI . Après cette lecture,les membres de la DYNOB ,une structure d’accompagnement des actions de la Sénatrice ont déposé le gerbe de fleurs de la sénatrice et une enveloppe pour soutenir la famille de l’illustre disparu. Honorable Noëlla est très active pour la situation qui se vit dans sa base et à tout moment elle participe d’une manière où d’une autre en cas de problème. Young be est mort dans son hôtel où il préparait un concert pour la paix en Ituri. Rédaction. Partager
Il s’est tenu du 20 au 25 avril 2025, la quinzième session ordinaire de l’assemblée plénière du forum des parlements des pays membres de la Conférence Internationale sur la Région des Grands-lacs, CIRGL en sigle, à Luanda, capitale Angolaise. La délégation RD. Congolaise conduite par le Speaker de la chambre basse du Parlement Professeur Vital Kamerhe Lwa Kanyinginyi à la quelle l’on notait la présence du digne élu du Peuple de l’Ituri le Député Nene Kashinde Avodjoa qui a apporté toute son expertise en tant que Juriste et Leader religieux sur le thème de la session à savoir « Leadership inclusif dans la région des Grands-lacs » Le Député Nene Kashinde que notre rédaction a joint depuis Luanda (Angola) a expliqué que les travaux ont tourné autour des questions sécuritaire, politique et humanitaire à l’Est de la République démocratique du Congo. « C’était une belle opportunité pour nous de mener davantage un plaidoyer fort à ce niveau de la sous-région des Grands-lacs pour espérer une stabilité de nos compatriotes de l’Est d’où nous sommes originaire » a-t-il soutenu. Quant aux travaux en plénière le jeudi 24 avril, le débat sur le thème leadership inclusif et la prise de décision dans la région des Grands-lacs et l’intégration du point de vue des femmes dans le processus de paix et sécurité se sont déroulés dans un climat bon enfant a expliqué le Député national N. Kashinde. « Le choix du thème s’expliquait par le fait même que la sous-région des Grands-lacs reste confrontée à plusieurs défis liés aux conflits armés, instabilité politique, pauvreté, précarité socio-économique etc… » a-t-il conclu. Par ailleurs,le Président de l’Assemblée national de la République démocratique du Congo, le Professeur Vital Kamerhe a fait adopté par les Présidents de tous les Pays membres la mention de la présence Rwandaise sur le sol Congolais. « Nous sommes entre nous les Leaders et la vérité doit être dite.Le Rwanda est entrain de nous agresser en République démocratique du Congo » a insisté Vital Kamerhe. Notez que les délégués étaient venu de la République démocratique du Congo, du Kenya, de la Tanzanie, de l’Ouganda, du Rwanda, du Burundi ,du Soudan du Sud et de l’Angola qui sont tous membres de la CIRGL. Rédaction. Partager
Le monde est en deuil. Le pape François est décédé ce lundi à l’âge de 88 ans, selon une annonce officielle du Vatican. « Ce matin à 7h35, l’évêque de Rome, François, est retourné à la maison du Père « , a déclaré le cardinal Kevin Farrell dans un communiqué publié par le Vatican sur sa chaîne Telegram, confirmant le décès du Saint-Père. Sa biographieLe pape François, Jorge Mario Bergoglio, est né en 1936 en Argentine. Rentré comme novice dans la Compagnie de Jésus en mars 1958, il est nommé prêtre en 1969, évêque de Auca et auxiliaire de Buenos Aires en 1992 puis archevêque co-adjuteur du même diocèse. Président de la Conférence épiscopale d’Argentine de 2005 à 2011, il est créé cardinal par Jean-Paul II en 2001. À 76 ans, il est élu Pape le 13 mars 2013. En mémoire de l’engagement de saint François d’Assise, il choisit le nom de François. Il est le 266ᵉ Pape de l’Église catholique.Jorge Mario Bergoglio est né le 17 décembre 1936 à Buenos Aires en Argentine dans une famille d’immigrés italiens. Il suit une formation d’ingénieur chimiste avant d’entrer au séminaire de Villa Devoto, puis au noviciat de la Compagnie de Jésus le 11 mars 1958. Il part faire son noviciat au Chili et revient en 1963 pour obtenir une licence de philosophie à l’Université de San Miguel. De 1964 à 1965, il est professeur de littérature et de psychologie à l’Université de l’Immaculée de Santa Fé puis, en 1966, à l’Université del Salvador à Buenos Aires. Entre 1964 et 1965, il est professeur de littérature et de psychologie au Collège de l’Immaculée Conception de Santa Fe. En 1966 il enseigne ces matières au Collège Salvatore de Buenos Aires. De 1967 à 1970, il reprend des études de théologie à l’Université de San Miguel et obtient son diplôme. Il est ordonné prêtre le 13 décembre 1969 par Mgr Jamón José Castellano, archevêque émérite de Cordoue. Après une année à Alcala de Henares en Espagne, il prononce ses vœux perpétuels le 22 avril 1973. Il devient maître des novices à la Villa Barilari, à San Miguel, professeur à la Faculté de Théologie et conseiller pour la Province jésuite. Le 31 juillet 1973, il est nommé Provincial des jésuites d’Argentine, charge qu’il exerce jusqu’en 1979 (6 ans). Entre 1980 et 1986, Jorge Bergoglio occupe principalement deux fonctions : il est recteur du collège Saint-Joseph à San Miguel, dans la banlieue de Buenos Aires et curé de la paroisse Saint-Joseph à San Miguel. Durant cette période, Bergoglio enseigne la théologie pastorale. En 1986, il quitte ces fonctions pour se rendre à Francfort, en Allemagne afin de poursuivre ses études et travailler sur une thèse de doctorat (sur le théologien italien Romano Guardini), qu’il n’achèvera finalement pas. En juin 1990, il retourne en Argentine. Suite à une période de conflit au sein de la Compagnie de Jésus, Jorge Mario Bergoglio est envoyé en exil à Cordoba, en Argentine, de 1990 à 1992 où il est curé et confesseur. Cette période d’exil se termine le 13 mai 1992, lorsqu’il est nommé évêque auxiliaire de Buenos Aires par le Pape Jean-Paul II. Cette nomination s’est faite sur l’intervention du cardinal Antonio Quarracino, alors archevêque de Buenos Aires, qui souhaitait avoir Bergoglio comme proche collaborateur. Cette nomination marque le début de son ascension dans la hiérarchie ecclésiastique, le menant ultimement à devenir le pape François en 2013. Il reçoit la consécration épiscopale le 27 juin 1992 de la part du cardinal Antonio Quarracino, le Nonce apostolique, Mgr Ubaldo Calabresi et l’évêque de Mercedes-Luján, Mgr Emilio Ogñénovich. Sa devise est « Miserando atque eligendo. » qui signifie « par miséricorde et par élection ». Il participe à la IXe Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques en octobre 1994 sur la vie consacrée. Le 3 juin 1997, il est nommé archevêque coadjuteur du même diocèse. Il participe à l’Assemblée spéciale pour l’Amérique du Synode des évêques en novembre 1997. À la mort du Cardinal Antonio Quarracino, il se fait remarquer pour son train de vie humble, voire ascétique, il devient archevêque de la capitale d’Argentine, le 28 février 1998. Il est aussi l’évêque ordinaire des fidèles de rite oriental résidents en Argentine sans Ordinaire de leur propre rite et Chancelier de l’Université catholique d’Argentine depuis le 30 novembre 1998. Il est rapporteur général adjoint de la Xème Assemblée Générale ordinaire du Synode des Évêques sur l’évêque en octobre 2001. Il participe également à XIe Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques en octobre 2005 sur l’Eucharistie.Le 9 novembre 2005, il est élu président de la Conférence épiscopale d’Argentine, réélu en 2008 et termine son mandant en novembre 2011. Il est Président de la Commission épiscopale pour l’Université catholique d’Argentine. Il est créé cardinal-prêtre par Jean-Paul II lors du consistoire du 21 févier 2001. Bergoglio, âgé de 64 ans à l’époque, était l’un des 44 nouveaux cardinaux nommés ce jour-là. Jean-Paul II lui assigne le titre de cardinal-prêtre de l’église romaine de Saint-Robert-Bellarmin, en l’honneur du saint jésuite et docteur de l’Église. Papabile lors du conclave de 2005, il est sans doute le challenger le plus sérieux de Joseph Ratzinger (Allemagne) avec le cardinal Carlo Maria Martini (Italie). En tant que cardinal, Bergoglio est devenu membre de plusieurs congrégations et conseils au sein de la Curie romaine, notamment : La Congrégation pour le Clergé, La Congrégation pour le Culte divin et Discipline des Sacrements, la Congrégation pour les Instituts de Vie consacrée et les Sociétés de Vie apostoliqueLe Conseil pontifical pour la Famille (membre de la présidence)La Commission pontificale pour l’Amérique latineLe Conseil ordinaire du Secrétariat général du Synode des évêquesLe Conseil post-synodalDouze ans plus tard, le 13 mars 2013, le cardinal Bergoglio est élu 266ᵉ pape de l’Église catholique, prenant le nom de François. Avant son élection, il est l’auteur de Meditaciones para religiosos en 1982, Reflexiones sobre la vida apostólica en 1986 et Reflexiones de esperanza (1992) Redaction Partager
C’est à l’issu d’une séance de travail avec le Président du Sénat de la République démocratique du Congo, Sama Lukonde Kyenge, que le débat sur l’arrestation et remorquage des véhicules par la police de circulation routière a été soulevé par l »élu de la Province de Mongala qui, depuis quelques mois, constante les faits. Plusieurs véhicules sont remorqués par la Police et les propriétaires doivent débourser au moins deux cents dollars américains pour voir leurs véhicules être libérés. « Il y a des policiers qui font remorquer arbitrairement des véhicules stationnés ou mal stationnés et pour autant il vous faut payer plus de deux cents dollars américains. Et nos informations indiquent que non seulement parfois ça crée des embouteillages mais aussi des bagarres entre propriétaires des véhicules et la Police de Circulation Routière, PCR en sigle. Mais ce que je trouve grave, l’argent va dans un compte privé » affirme le Sénateur Bienvenu Esimba. L’on se demanderait à quoi sert vraiment ces « amendes » récoltées et qui échappent au trésor public mais qui part tout droit dans la poche d’un individu ? Une enquête minutieuse devrait être menée pour établir des responsabilités a souligné le Sénateur tout courouseux. Et d’ajouter, le pays étant agressé, un tel montant devrait servir à l’effort de guerre. « Vous savez que nous sommes en période de la guerre, l’Etat ne doit pas laisser échapper les moyens pour l’effort de guerre quand vous faites la mathématique, si on doit remorquer plus de 200 véhicules par jour, ça vois fait entre deux à trois cents milles dollars. Et plus de mille véhicules, donc c’est beaucoup d’argents » conclut le Sénateur Bienvenu Esimba. Notez que cette pratique, devenue monnaie courante à Kinshasa, s’étend dans plusieurs autres villes du Pays avec les concours des services de la Commission Nationale de Prévention Routière, CNPR en sigle et de la Police nNationale Congolaise, PNC. Rédaction. Partager
C’est le lundi 17 mars 2025 que la Sénatrice Noëlla BACHEBANDEY a tenu, ensemble avec les parlementaires Ituriens à évaluer la situation sanitaire avec l’ONG Médecin Sans Frontière en Ituri. Partage sur la violence sexuelle en province de l’Ituri était au centre de cette échange entre les Parlementaires et le Directeur Pays de MSF en RDC. <<Nous avons échangé sur comment identifier et élargir le champs de besoin de santé couvert pour fournir des Soins de Santé de qualité aux population sinistrée de Djugu.>> avait déclaré à la presse RTA la Sénatrice élue de Djugu, l’honorable Noëlla BACHEBANDEY ;pour cette élue des Elus de l’Ituri, après présentation de rapport de MSF qui a témoigné sur l’existence de violence faites contre les civiles et les structures de santé en Ituri, les besoins urgents des populations et le manque remarquable de réponse de la part des autorités. Le rapport de l’MSF a permis d’attirer l’attention des acteurs clés notamment les humanitaires et les Politiciens ; des médias privé et public pour faire cesser les violences et répondre aux besoins urgents de la population en province de l’Ituri. <<Nous sommes disposés à répondre à toute préoccupations des Elus à ce qui concerne les activités que mènent l’MSF en Ituri >> avait tenu à rassurer les parlementaires à l’issue de cette échange organise à Kinshasa sous la médiation de la Sénatrice Noëlla BACHEBANDEY entre les Elus et l’équipe pays de Médecins Sans Frontière. Rédaction. Partager
<<un calme est revenu au bord du lac Albert après l’incident de Nyamamba et de Mita. J’appelle la population et les autres commerçants navigant sur le lac Albert à reprendre leurs activités>> c’est par ce mot que le représentant du chef de chefferie de Bahema Banywagi, sa majesté Freddy MBIJO PANGA s’est exprimé devant la presse à l’issu d’une rencontre dévaluation de la situation sécuritaire dans le littoral du lac Albert à Tchomia ce vendredi. Une rencontre qui a réuni les acteurs politiques de la région, les militaires de forces navale et le commissaire lacustre du lac ainsi que les autres services connexes. Selon ce représentant de l, autorité coutumière, la paix règne et chaque habitant doit reprendre ses activités comme d’habitudes. La force de l’ordre assure la sécurité, toutes les autres activités doivent reprendre. Cette rencontre s’est tenue à Tchomia, qui est le chef-lieu de cette chefferie situe a plus de 55km de Bunia au bord du lac. La population et les activités ont été paralyse dans cette chefferie après accrochage qui a eu lieu entre les force de l’ordre et le présumé groupe rebelle milice de la coalition fidèle à Thomas LUBANGA. Une situation qui a poussé la population à se déplacer de Tchomia vers les autres contrées et même en Ouganda. IBRAHIM DHELO David Partager
Trois étudiants de l’Institut Supérieur des Techniques Médicales, ISTM-Bunia et de l’Université de Bunia, UNIBU ont été abbatu vendredi 14 Mars aux environs de 16h par un militaire en état d’ébriété. La quatrième personne tuée est une tenancière d’un restaurant au Quartier Bankoko. C’est ainsi que la représentation des étudiants du Congo (REC) section Ituri s’est indignée, dans la soirée du même vendredi, du meurtre des étudiants de l’Institut Supérieur des Techniques Médicales (ISTM/Bunia) et de l’Université de Bunia (UNIBU) par un militaire incontrôlé des forces armées, près de l’aéroport national Murongo de Bunia. Dans sa déclaration, elle a mis en garde contre le silence coupable des autorités militaires, menaçant d’engager des actions d’envergures si rien n’est fait pour sanctionner l’auteur du meurtre. «Cet acte barbare commis par un militaire en état d’ivresse est une violation flagrante et une trahison inacceptable du rôle de l’armée, sensée protéger les civils et non les exterminer. Cet incident est loin d’être isolé, et, il est grand temps que les autorités mettent fin à l’impunité qui gangrène les forces armées en Ituri » souligne le communiqué de la REC, lu par Gaël Uvon, son porte-parole occasionnel. La représentation des étudiants de l’Ituri appelle à des actions concrètes contre l’impunité des militaires, devenue, selon elle, une habitude. De son côté, le Porte-parole de l’armée tout en condamnant cet acte qualifie cet acte d’ignoble et d’inacceptable ayant été commis pour la nième fois par un élément des forces armées de la République. « Il s’agit là encore d’un nième cas de meurtre commis par un élément incontrôlé que nous déplorons. Toutes les batteries seront mises en marche pour le sanctionner de façon exemplaire » a indiqué le Lieutenant Jules Ngongo. Signalons que les corps des victimes ont été déposés à la morgue de l’hôpital général de référence de Bunia dans la soirée, alors qu’une manifestation des étudiants a été étouffée par des éléments FARDC près de l’auditorat militaire de l’Ituri, à Bunia. Rédaction. Partager
Il s’agit d’une douche froide que le Nouveau conseiller du Président de la République offre à Thomas Lubanga en travers un extrait de son message à ses frères de l’Ituri ce Vendredi 14 mars 2025. Il commence son message par un regret exprimé: « (…) Pensée pieuse à Madame Yvette Lubanga, ma petite sœur biologique et l’épouse de Monsieur Thomas Lubanga Dyilo (TLD).Par manque de conseillers qui l’aiment sincèrement comme sa défunte épouse, ce dernier n’a plus de repère aujourd’hui pour continuer la mission de pacification que le Président de la République lui avait confiée, via la task force ! » note M. Nyolo. Et de poursuivre :« Je le vois empoisonné idéologiquement par un entourage des pêcheurs en eaux troubles qui vivent en exil en Ouganda sous prétexte que leurs vies seraient en danger en Ituri. Le Président Fatshi, à l’instar de son père, le Héros Papa Étienne, a toujours honoré TLD.Il s’était engagé à réhabiliter son image sur l’échiquier national et international malgré certaines objections des donneurs des leçons occidentaux, le nommant à la tete d’une mission de paix, dotée de moyens conséquents pour une campagne de sensibilisation.Le Président Fatshi a offert un enterrement digne à ma sœur Yvette Lubanga, pour honorer son mari et soulager ses peines, lui qui venait d’apurer ses 14 ans de prison suite à sa condamnation.Il préparait également une nomination de TLD (l’ancien Seigneur de guerre que nous croyons encore converti) pour une responsabilité importante au niveau régional » s’en offusque le Conseiller Nyolo. Mais hélas… « Mais hélas ! Qu’est-ce qui intéresse réellement M. Thomas Lubanga Dyilo ? s’interroge Nyolo. Et sa réponse étonne : « Je refuse de croire à ce que j’apprends. Serait-il en train de monter une bande armée pour chasser militairement l’état de siège proclamé par le Président Fatshi? C’est un manque de réalisme politique. Thomas Lubanga avait toutes les possibilités de discuter avec le Chef de l’Etat pour l’amélioration de la gouvernance sécuritaire en Province de l’Ituri, qui, à mon avis aussi, est réellement defaillante. Les puits d’or sont sécurisés plus que les acouphènes (les grands foyers des peuplements) à cause des mauvais choix de certains commandants pour qui je demanderais des sanctions exemplaires après les enquêtes de l’inspection militaire » souligne t-il. Parailleurs, le Président Fatshi maintient sans atermoiements sa volonté de mettre fin aux massacres en Ituri et d’alléger les mesures restrictives de l’état de siège. Il met des moyens d’action nécessaires pour le succès des opérations militaires. « Je le témoigne » poursuit M. Nyolo.Et avec sa nomination à la Présidence, Jean-Marie Nyolo rassure: « J’ai rejoint son cabinet en ce moment de guerre pour contribuer à l’effort de la pacification de l’Ituri et de tout l’Est en général à travers une construction d’un pacte républicain de paix qui obstruera toutes les voies d’infiltration de l’ennemi du peuple congolais notamment.Je remercie la jeunesse de l’Ituri qui a écouté mes conseils de rejeter l’invitation des M23/AFC et CODECO qui endeuillent nos peuples, déciment nos écosystèmes et organisent une économie criminelle poursuivant le plan belliqueux que son géniteur, la Kabilie de triste mémoire, avait dressé contre nos riches provinces de l’est, nous rendant des esclaves des systèmes Mwangachuchu-Like répliqués sur tout commerce des ressources naturelles et agropastorales de nos Provinces.Je les invite (ces jeunes ituriens) à rejoindre le Conseil consultatif permanent pour la paix via lequel nous nous retrouverons mensuellement à Bunia pour faire le point, bénéficiant de l’expertise de la Division politique et celle des droits humains de la Monusco ainsi que des cabinets des Ministères en charge de l’Intérieur&Sécurité, de la défense et de la justice, en vue de recréer la quiétude et le vivre ensemble qui passe par la justice transitionnelle réparatrices des blessures de nos cœurs » Conclut-il. Rédaction. Partager
Trois mois des vacances parlementaires viennent de s’écouler et les députés nationaux reprennent le chemin de l’hémicycle ce samedi 15 mars 2025. Cette session s’annonce cruciale, avec des réformes législatives majeures en perspective, selon le rapporteur de la chambre basse, le Professeur Jacques Djoli. Parmi les priorités, des projets de loi portant sur la gouvernance institutionnelle, alors que le pays fait face à des défis sécuritaires et économiques importants. Mais c’est surtout la question sécuritaire qui domine les débats. La République démocratique du Congo est toujours confrontée à l’occupation d’une partie de son territoire par le M23/AFC, soutenu par le Rwanda. La Commission Défense et Sécurité doit présenter un rapport stratégique élaboré durant l’intersession, contenant des recommandations pour restaurer l’intégrité territoriale. Ce dossier sensible pourrait raviver les tensions au sein de l’hémicycle. Cette rentrée parlementaire intervient également dans un contexte de forte attente sociale. L’opinion publique et les acteurs politiques scrutent de près les actions des élus, notamment sur la question du respect des engagements pris en matière de gouvernance et de sécurité. La plénière d’ouverture, prévue à 13h, marquera le début d’une session qui s’annonce déterminante pour l’avenir législatif et la stabilité du pays. Rédaction. Partager