Les services de défense et de sécurité ont présenté ce mardi au cours d’une cérémonie organisée à l’esplanade du gouvernorat deux personnes présumées Wazalendo en présence du Gouverneur militaire de l’Ituri le Lt général Johnny Luboya N’kashama entouré des membres du comité provincial de sécurité, a constaté l’ACP. Il s’agit respectivement de Kakule Mayani Roger et son compagnon Mbusa Lawi arrêtés à Mungamba en Territoire d’Irumu au Sud Bunia.Passés aux aveux, ces deux compatriotes originaires du Nord Kivu ont déclaré devant la presse du gouvernorat en ces termes : » Nous venons de Kasese- Kirumba en province du Nord Kivu. Nous sommes les Wazalendo et cultivateurs invités par un frère opérateur économique pour venir sécuriser ses champs de cacao contre les terroristes ADF/ Nalu qui pillent nos produits des champs « , avant de préciser que les armes et les munitions proviennent de Kyaghanda Yira dont l’objectif consiste à lutter contre le phénomène ADF/Nalu qui infeste notre région, ont-ils rapporté. ACP/ Muhemedi Kongolo Partager
Bunia, 06 mai 2024( ACP) Le Vice gouverneur policier le Commissaire divisionnaire Raus Chalwe Munkutu a présidé au Complexe scolaire Jean- Marie de Lamennais la cérémonie du lancement officiel des épreuves préliminaires de l’Examen d’État édition 2024, a constaté l’ACP ce lundi. En Ituri, 15.801 candidats dont 8.000 filles répartis dans 49 centres d’examen sont attendus sur l’ensemble de la province de l’Ituri. A en croire le directeur provincial de l’ EPST/ Ituri 1, Masumbuko Butaka, pour cette journée des épreuves hors session, aucun accident n’a été signalé, avant de saluer les efforts consentis par l’administration militaire de l’Ituri favorisant ainsi le bon déroulement des épreuves. Pour le Vice gouverneur de l’Ituri, Raus Chalwe Munkutu qui a exprimé ses sentiments de satisfaction à l’endroit du Chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui ne ménage aucun effort pour la restauration de l’ autorité de l’ État dans la partie orientale du Pays, avant de rassurer aux parents l’appui du gouvernement provincial en faveur des candidats en difficulté. Il sied de noter que la première journée de ces épreuves a été consacrée à la dissertation, tandis que pour la deuxième ce sera pour l’examen oral et la troisième journée sera réservée à la pratique professionnelle, souligne-t–on. ACP/ Muhemedi Kongolo Partager
Bunia, 30 avril 2024( ACP) La mission de la délégation de la Cellule Genre du ministère de la défense nationale et anciens combattants conduite par Mme Colonel Agnès Nkulu effectuée à Bunia, chef-lieu de la province de l’Ituri accompagnée la Représentante du Projet » Unis pour la paix et sécurité » s’est clôturée ce mardi 30 avril. Abordée par la presse du gouvernorat au sortir de l’audience avec l’Autorité provinciale militaire, le Lt général Johnny Luboya N’kashama, Colonel Agnès Nkulu a fait savoir que » nous sommes là dans le cadre de la continuité de la sensibilisation du mois de la FEMME avec notre partenaire » Unis pour la paix et sécurité « » Notre échange a tourné sur les trois thèmes que nous avons pu commencer à partir de Kinshasa, poursuivre avec ça dans la province de l’Ituri qui avait comme thème, question sur le Genre et aussi le thème principal du mois de la FEMME accroître les ressources en faveur des jeunes filles pour un Congo paritaire qui était aussi associé avec le leadership féminin au sein des FARDC et son impact « . Et d’ajouter : » D’abord la sensibilisation de personnels militaires et policiers féminins, les outiller ainsi que les connaissances que nous avons pu développer durant les trois jours de cet atelier, autre chose c’est de les faire comprendre que la société a besoin d’elles, donc, on leur demande de la compétence quand on voit la compétence,on voit en elles le savoir-faire et le savoir être « . » De toutes les façons, c’est aux Personnels militaires féminins ( PMF) et aux personnels policiers féminins ( PPF) de comprendre. Je viens de dire les problèmes de la compétence, on ne peut pas donner les postes comme ça, d’où on leur demande d’abord la formation, c’est important, c’est très capital parce que nous-mêmes quand nous sommes ici, nous sommes passés dans de différentes formations pour que nous puissions nous retrouver « . Avant de regagner la capitale congolaise, la Cheffe de la délégation, Colonel Agnès N’kulu s’est dit impressionnée du travail abattu par le Gouverneur militaire, le Lt général Johnny Luboya N’kashama pour la construction des infrastructures rendant la ville de Bunia vraiment propre, et cela témoigne que le Commandant suprême, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a mis l’homme qu’il faut à la place qu’il faut « , s’est-elle exprimée. Il sied de noter que la mission de la Cellule Genre du ministère de la défense nationale et anciens combattants en Ituri a duré 4 jours, rapporte-t-on. ACP/ Muhemedi Kongolo Partager
DU 26 avril 2001 au 26 avril 2024, cela fait exactement 23 ans depuis que le CICR avait perdu ses 6 agents de terrain sur l’axe Fataki – Djugu dans des circonstances non élucidées. En mémoire de ces 6 agents du CICR lâchement assassinés, la rédaction du Journal Les Coulisses s’est, fait le devoir de rappeler à ceux-là qui n’étaient pas encore nés comment cette scène macabre s’était déroulée pour réveiller la conscience des uns et des autres enfin que pareil crime ignoble ne se répète plus jamais. Pour la petite histoire. Tenez.Après une très laborieuse à Rethy et Kpandroma, Secteur Lendu, 6 délégués du CICR basés à Bunia gagnent le Centre de Fataki le mercredi 25 avril 2001 pour la nuit chez les Hema. Julio Delgado ressortissant Colombien ( 54 ans) y arrive à bord d’une jeep 4×4 Land cruiser avec son collaborateur Une Ufoyrwith et le chauffeur Jean Molokobange tous deux congolais. Ils sont suivis de près par la deuxième jeep 4×4 de même type occupée par Rita Fax ( une Suissesse de 36 ans), et sa collaboratrice Véronique Saro( la trentaine visible), conduite par le chauffeur Aduwe Bboli. Les compagnons de Rita sont également congolais.Leur nuit passée au Petit Séminaire de Fataki est sans problème. Le jeudi 26 avril après un déjeuner, démarre le travail d’évaluation pour lequel Julio ( Secours) et Rita ( Santé) séjournent en Ituri.Vers 11 heures ils signalent par radio leur position et promettent de rappeler avant de quitter Fataki, après la rencontre avec le Comité de paix local.Cet appel sera malheureusement le dernier. Partis de Fataki sans signal radio aux environs de 13 heures, selon les premiers éléments d’enquête, les deux équipes n’ont plus répondu à tous les appels de différentes Bases du CICR. Les 6 délégués seront découverts morts d’une mort violente entre Fataki et Djugu Centre, au niveau de Alur dans le localité Lendu de Jitso, non loin de leurs véhicules incendiés.Les victimes auraient été tuées par balles puis tailladees à l’arme blanche.La nouvelle de cette horreur fera le tour du monde avec le retour des corps à Bunia, d’où 5 seront reconduits vers leurs familles respectives. L’ émotion était grande à Bunia, parmi les organismes humanitaires et dans la population, comme ailleurs dans le monde. Le FLC par la bouche de son Président Jean-Pierre Bemba, a promis de tout faire pour mettre la main sur les auteurs de ce crapuleux assassinat avec promesse d’une prime de 50.000 USD à toute personne qui aiderait à les dénicher. Les services de sécurité militaire et civils, tout le monde, le Parquet de Bunia, doivent désormais trouver des réponses précises à ces questions :_ Qui a tué les 6 agents du Comité International de la Croix-Rouge et pour quelle raison ?_ Pourquoi seulement le CICR et pas les autres organismes opérant sur le même terrain ?_ Pourquoi le silence radio avant le départ de Fataki et face au danger ?Les enquêteurs ont du pain sur la planche étant donné la complexité du milieu, mais devront explorer toutes les pistes pour ne pas tomber dans les accusations gratuites.La piste Hema-Lendu est sans doute la première aux yeux des enquêteurs pour deux raisons : Ces deux communautés s’affrontent depuis mai 1999 dans cette région et elles se sont mutuellement rejeté les responsabilités comme le 7 mai dernier devant la délégation des Nations Unies qui conduisait M. Bourri Sahnoudi, Coordonnateur humanitaire et Représentant Résidant de l’ONU en RDC. Les Hema ont dénoncé » 36 violations de l’Accord de paix par les Lendu qui, à leur tour ont accusé les Hema d’ attaquer leurs déplacés qui tentent de regagner les villages.Mais qui pouvait bien attenter à la vie des agents du CICR alors que cet organisme assistait les nécessiteux de deux côtés ? Surtout que tout était apparemment rentré dans l’ordre après les premiers incidents entre les Hema et certains organismes d’aide dont MSF/ Hollande et le même CICR. Et l’on se souviendra de la mission des humanitaires conduite depuis Goma par Charles Pétrie et sa réunion à l’ hôtel Lusakivana.A ce niveau seuls les enquêteurs peuvent, après examen de la distribution de l’assistance du CICR aux deux groupes armés rivaux c’est risquer d’orienter les soupçons vers les Hema ou vers les Lendu : si et seulement si des indices sérieux existent.Notons que Hema et Lendu exigent tous une enquête sérieuse, si pas internationale pour les départager.La seconde piste est celle des bandits armés qui opèrent sur nos routes, habillés en tenue militaire comme ceux ayant fauché les jeunes commerçants Calvin et Udaga.Il n’est pas exclu que certains militaires indisciplinés ou déserteurs, congolais ou ougandais, commettent un crime crapuleux sur des humanitaires présumés détenir devises. Un convoi de deux jeeps CICR avec des blancs était donc facile à cibler. Mais, pourquoi des bandits auraient-ils chercher à simuler une attaque par machette après avoir tué par balles ? Pourquoi n’ont-ils pas pris les effets des victimes ? Si ce sont des soldats réguliers et disciplinés, Ils doivent avoir obéi à un ordre d’un Chef. Comment le savoir dans un Secteur où sont déployés des soldats congolais du FLC et Ougandais de l’ UPDF? Des enquêteurs militaires sont d’une utilité à ce niveau.Cependant, l’énigme de la radio persiste. Pourquoi aucune voiture n’a pu signaler le danger, même si les délégués avaient oublié d’annoncer leur départ comme promis ? La première piste comme la seconde aurait pu être abordée de façon éclairée si la radio avait opéré. Enfin, certains observateurs n’excluent pas l’action intelligente de haut niveau en rapport soit avec la guerre du Sud- Soudan, soit avec la guerre du Congo. Action qui serait destinée à stopper un processus militaro- diplomatique en discreditant un des principaux acteurs. Quitte à choisir la cible à grand effet psychologique, le lieu et le moment. En l’ occurrences un organisme humanitaire comme le CICR en pleine activité sur un terrain où la diversion comme le conflit Hema- Lendu ou du Soudan serait facile à trouver. L’ attaque en mai d’un avion du
Bunia, 26 avril 2024( ACP) Le dialogue intracommunautaire élargi aux groupes armés de l’ Ituri qui a débuté ses travaux jeudi dernier sous les auspices du Vice-Premier Ministre en charge de la Défense nationale et Anciens combattants, Jean Pierre Bemba Gombo s’est clôturé ce vendredi 26 avril à la place Rehema Plazza, a constaté l’ACP. .Environs 500 participants venus de tous les 5 territoires représentant toutes les 21 Communautés qui composent la province, à savoir les AT du territoire d’Aru, Mahagi, Djugu, Irumu et Mambasa, ainsi que les Chefs des Chefferies et Secteurs, les leaders des groupes armés notamment FRPI, FPIC, CODECO, MAPI, Autodéfense et Chini ya Tuna ( MAIC) ont pris une part active à ces assises considérées par l’opinion Iturienne de dernière chance pour une paix durable en Ituri. La tenue de ce dialogue intercommunautaire élargi avait pour objectif de renforcer l’autorité de l’État à travers des mécanismes locaux des dialogues communautaires pour une paix, sécurité et cohésion sociale dans la province de l’Ituri. A cet effet, des discussions en groupes sont ressortis les résultats suivants :_ Signature du Protocole d’accord dans lequel les groupes armés réaffirment leur engagement sans condition à la cessation immédiate des hostilités et des exactions sur les populations civiles dans le respect des instruments juridiques nationaux et internationaux ;_ L’ engagement des communautés à régler leurs différends par le dialogue, le pardon et la réconciliation sous la sagesse des autorités coutumières ;_ L’ accompagnement de tous les processus de paix initiés par le gouvernement tant national que provincial, ainsi que les communautés Ituriennes ( sensibilisation, dialogue, etc)_ Élaboration des plans d’actions territoriaux pour la paix,la sécurité, la cohésion sociale et développement en Province de l’Ituri.En conclusion, les communautés recommandent l’accompagnement du Gouvernement congolais et de la Communauté internationale dans la mise en œuvre rapide du Programme de Désarmement, Démobilisation, Relèvement Communautaire et Stabilisation ( P.DDRC-s). Il sied de noter que la délégation du VPM Jean Pierre Bemba Gombo a regagné ce la capitale congolaise au terme d’une mission de 48 heures dans le chef-lieu de la province de l’Ituri. ACP/ Muhemedi Kongolo Partager
Candidate au sénat à l’élection de 2024, cette jeune femme ambitieuse se distingue dans l’assistance aux personnes en détresse. Après les déplacés, les enfants de la Rue et les personnes de troisièmes Age abandonnée par leur famille, La Candidate Noëlla BACHEBANDEY, cadre de l’UNC est venu aux rescousses de 4 Journalistes qui ont connus de difficultés d’ordre sécuritaire, sanitaire et familiale. Parmi les bénéficiaires de ce ses actes de charité, cette candidate au Senat a rendu visite aux deux journalistes de la RTNC station de Bunia dont Serge KARBA qui a été victime des agressions des personnes armées non autrement identifiées <<jetais blessé par une machette après une longue discussion avec les criminelles ,Madame Noëlla BACHEBANDEY est la première candidate parmi tant d’autres à nous porter secours et nous la remercions pour cela.>> Le second et le cameraman de l’assemblée Provinciale, le Journaliste ,Patrick KAGHENI qui avait perdu sa mère Biologique <<Maman est décédé après plusieurs intervention médicale, Nous sommes reconnaissant de réconfort Morale de la candidate Noëlla BACHEBANDEY que Dieu seul songe à son avenir politique à travers ses actes combien de fois louable>> Le dernier de la liste ,deux professionnels de media de la Radio Télévisions Avenir de Bunia hospitalisés dans une clinique de la place dont la facture a été payée par la candidate Noëlla BACHEBANDEY . Retenez que Madame Noëlla est la deuxième d’une liste de cinquante-deux candidat alignés pour la sénatoriale de Mai 2024. Patricia Odile KOIYA Partager
Le Ministère du Christ pour la Restauration, MCR organisera vers la fin du mois de Juin 2024, une prière pour la réconciliation et la paix dans la Province de l’Ituri et l’Est de la RDC. Annonce faite ce Jeudi 09 Mai 2024 par le Pasteur Daniel MULINDWA TOKPA, Représentant Legal de ce nouveau Ministère qui a vu le jour en Ville de Bunia. « Nous allons organiser une prière spéciale pour la Province de l’Ituri vers la fin du mois de Juin 2024 en marge de la commémoration du 64e anniversaire de l’indépendance de la RDC. Cette prière c’est pour la réconciliation entre les fils et filles de l’Ituri et l’Est de la RDC, le pardon, la cohabitation pacifique, la paix et le développement » a déclaré le Représentant Legal de ce Ministère. Toutes les autorités politico-administratives, policières et militaires, les leaders religieux, les acteurs de la Société civile, les jeunes, les femmes et autres couches de la population sont invités à cette prière pour sauver la Province de l’Ituri et l’Est de la RDC entre les mains des ennemis de la paix. Le Ministère du Christ pour la Restauration a son siège en Ville de Bunia, Province de l’Ituri avec la vision de contribuer au travers la parole puissante de Dieu au rétablissement du bien être complet de l’homme, croyant en Jésus Christ comme son Sauveur (Galate 3 :13). Simplice Léon BELGIKA Partager
Tél que connu de la notoriété publique Iturienne, depuis le dernier rebondissement des hostilités de l’Ituri qui remonte à 2017, il a plu au Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo d’inviter d’une manière prématurée tous les Leaders des Groupes armés de l’Est en général, et ceux de l’Ituri en particulier pour participer à une assise significative à Kinshasa. Après cette assise de valeur qui s’est voulue particulièrement pour consolider le processus de pacification de l’Est, de retour de ces leaders des groupes armés de l’Ituri à Bunia, le Chef de l’Etat a vite dépêché le Vice-premier ministre et Ministres de Défense Jean Pierre Bemba Gombo, pour venir matérialiser ce programme du Chef de l’État visant la pacification définitive de l’Ituri, à Bunia. Comme véhiculé partout dans le media et les réseaux sociaux, une nouvelle signature de cessation des hostilités venait d’être faites entre les Leaders de différents Groupes armés de l’Ituri, ayant pris part aux assises de Kinshasa dont nous pouvons citer l’URDPC-CODECO, la FRPI, le FPIC, MAPI et ZAIRE. Quant à la Notable Patriote BIRIEMA MIMI, ayant intervenue à la Radio Télé RTS de Bunia, elle félicite vivement le Chef de l’Etat pour son initiative louable ayant fait montre de son implication paternelle visible pour le retour de la paix définitive en Ituri, en organisant cette Assise de Kinshas. La signature de la cessation des hostilités étant en soit une route fiable qui conduit tous belligérants à la paix, elle félicite également, à cette occasion, tous les groupes armés de l’Ituri signataires de ces cessations des hostilités, qui, après avoir écouté les briefings du Chef de l’État, acceptent de divorcer avec leurs habitudes antipatriotiques pour servir la Nation congolaise. Cependant, faisant suite aux multiples échecs antérieurs vécus dans les des processus de pacification de l’Ituri, la Notable Patriote BIRIEMA MIMI invite tous les Fils et Filles de l’Ituri à ce qui suit: – Éviter l’hypocrisie qui détruit tout processus de pacification et adopter des attitudes de sincérité pour sauvegarder ce dernier processus de pacification. – Par de là cette signature de cessation des hostilités, qui demeure insuffisante, il nécessite impérativement l’organisation d’un DIALOGUE ENTRE ITURIEN, en vue d’inviter les Fils et Filles du territoire de Djugu dans l’ordre de l’Ituri, car ce territoire ayant fait de l’Ituri tout entier une zone d’opprobre sur la planète terre. Du reste, ne se rassurant pas absolument de la vraie cessation des hostilités tel que signée par ces groupes armés de l’Ituri, la Notable Patriote BIRIEMA MIMI quant à elle met tous ces Groupes armés et leurs Leaders signataires de ces cessations des hostilités en état d’observation, cela jusqu’à au retour de la paix définitive dans toute la province de l’Ituri. Dans la mesure où l’hypocrisie traditionnelle des Ituriens primera sur la vérité pour ainsi conduire ces signataires de cessation des hostilités à un rebondissement de conflit, la justice congolaise pourra alors s’occuper de ces récidivistes. L’Ituri a besoin d’une paix durable pour son bon décollage. BIRIEMA AORE MIMI Notable Patriote Partager
Au terme de la visite de travail à Bunia, chef-lieu de la province de l’Ituri du Vice-premier ministre en charge de la défense nationale et anciens combattants, Jean Pierre Bemba Gombo, les groupes armés actifs en Ituri ont pris l’engagement relatif à la cessation immédiate des hostilités dans l’intérêt de la paix, lequel acte a été signé conjointement par les groupes armés de l’ Ituri en présence du VPM en charge de la défense nationale et anciens combattants Jean Pierre Bemba Gombo. Il s’agit respectivement de 5 groupes armés identifiés suivants : 1.- Autodéfense des communautés victimes de l’Ituri ; 2.- FRPI. 3.- CODECO ; 4.- MAPI et 5.- FPIC. Au travers cet énième acte d’engagement considéré de trop par l’ opinion Iturienne signé le 19 avril 2024 à l’hôtel Exécutive Lodge, les représentants de ces groupes armés ont déclaré que : » Tout contrevenant au présent acte se verra sanctionné par les actions militaires ou judiciaires ». Il sied de rappeler que cet énième acte d’engagement des groupes armés n’est pas le premier, car d’autres actes similaires ont été signés antérieurement par ces derniers qui ne parviennent pas à respecter leurs engagements signés de bonne foi, passant outre leurs écrits, rapporte-t-on. ACP/ Muhemedi Kongolo Partager
Les éléments de la milice Coopérative pour le Développement du Congo (CODECO) ne cessent de semer la terreurs et désolation au sein de la population locale. Les cas des tueries, de kidnapping et de pillage ne cessent de se faire enregistrer ça et là, dans les zones sous contrôle de ces ennemis de la paix. Face à cette énième série de massacre qui ravage petit à petit le secteur des Banyali Kilo, Noella BACHEBANDEY, une candidate aux élections sénatoriales prochaines au compte de l’UNC de Vital Kamerhe, condamne avec véhémence les actes barbares que ,ceux qui sont censés vivre ensemble infligent à leurs propres frères d’un même territoire, pour elle en aucun cas les actions de la barbarie peuvent apporter la paix au contraire c’est le développement de notre territoire et de notre peuple qui est freiné. Nous sommes condamnés à vivre ensemble, tous on a besoin de vivre, mais mes frères seuls sans l’autre à tes côtés c’est impossible. En aucun cas les armes, les machettes peuvent nous apporter la paix ou la sécurité, mais au contraire nous freinons le développement de notre cher territoire Djugu et celui de notre peuple. S’est-elle exprimé A elle d’appeler les autorités compétentes ayant la sécurité dans leurs attributions de toutes tourner leurs regards vers le territoire de Djugu, où plusieurs bavures sont signalées, surtout en secteur de Banyali kilo où plusieurs groupements sont sous occupations de la Codeco. Que les autorités tournent leurs regards vers Djugu, pour voir ce qui se passe dans le secteur de Banyali Kilo, où la femme pygmée est devenue objet sexuel des miliciens à lors qu’elle mérite du respect en tant que première habitante du Congo, la vie est devenue sans aucune importance dans notre territoire, les orpailleurs sont tués ici et là. A-t-elle ajouté Signalons que, le secteur de Banyali Kilo est à ces jours sous emprise de la milice Codeco, plus part de ses localités sont contrôlées par la milice au vu et au su des décideurs. Plusieurs incursions sont enregistrées depuis le début du mois d’avril où plus de quarante (40) personnes ont perdu la vie dans moins de quinze (15) jours. RTA 100.0 Partager