C’est à l’issu d’une séance de travail avec le Président du Sénat de la République démocratique du Congo, Sama Lukonde Kyenge, que le débat sur l’arrestation et remorquage des véhicules par la police de circulation routière a été soulevé par l »élu de la Province de Mongala qui, depuis quelques mois, constante les faits. Plusieurs véhicules sont remorqués par la Police et les propriétaires doivent débourser au moins deux cents dollars américains pour voir leurs véhicules être libérés. « Il y a des policiers qui font remorquer arbitrairement des véhicules stationnés ou mal stationnés et pour autant il vous faut payer plus de deux cents dollars américains. Et nos informations indiquent que non seulement parfois ça crée des embouteillages mais aussi des bagarres entre propriétaires des véhicules et la Police de Circulation Routière, PCR en sigle. Mais ce que je trouve grave, l’argent va dans un compte privé » affirme le Sénateur Bienvenu Esimba. L’on se demanderait à quoi sert vraiment ces « amendes » récoltées et qui échappent au trésor public mais qui part tout droit dans la poche d’un individu ? Une enquête minutieuse devrait être menée pour établir des responsabilités a souligné le Sénateur tout courouseux. Et d’ajouter, le pays étant agressé, un tel montant devrait servir à l’effort de guerre. « Vous savez que nous sommes en période de la guerre, l’Etat ne doit pas laisser échapper les moyens pour l’effort de guerre quand vous faites la mathématique, si on doit remorquer plus de 200 véhicules par jour, ça vois fait entre deux à trois cents milles dollars. Et plus de mille véhicules, donc c’est beaucoup d’argents » conclut le Sénateur Bienvenu Esimba. Notez que cette pratique, devenue monnaie courante à Kinshasa, s’étend dans plusieurs autres villes du Pays avec les concours des services de la Commission Nationale de Prévention Routière, CNPR en sigle et de la Police nNationale Congolaise, PNC. Rédaction. Partager
C’est le lundi 17 mars 2025 que la Sénatrice Noëlla BACHEBANDEY a tenu, ensemble avec les parlementaires Ituriens à évaluer la situation sanitaire avec l’ONG Médecin Sans Frontière en Ituri. Partage sur la violence sexuelle en province de l’Ituri était au centre de cette échange entre les Parlementaires et le Directeur Pays de MSF en RDC. <<Nous avons échangé sur comment identifier et élargir le champs de besoin de santé couvert pour fournir des Soins de Santé de qualité aux population sinistrée de Djugu.>> avait déclaré à la presse RTA la Sénatrice élue de Djugu, l’honorable Noëlla BACHEBANDEY ;pour cette élue des Elus de l’Ituri, après présentation de rapport de MSF qui a témoigné sur l’existence de violence faites contre les civiles et les structures de santé en Ituri, les besoins urgents des populations et le manque remarquable de réponse de la part des autorités. Le rapport de l’MSF a permis d’attirer l’attention des acteurs clés notamment les humanitaires et les Politiciens ; des médias privé et public pour faire cesser les violences et répondre aux besoins urgents de la population en province de l’Ituri. <<Nous sommes disposés à répondre à toute préoccupations des Elus à ce qui concerne les activités que mènent l’MSF en Ituri >> avait tenu à rassurer les parlementaires à l’issue de cette échange organise à Kinshasa sous la médiation de la Sénatrice Noëlla BACHEBANDEY entre les Elus et l’équipe pays de Médecins Sans Frontière. Rédaction. Partager
<<un calme est revenu au bord du lac Albert après l’incident de Nyamamba et de Mita. J’appelle la population et les autres commerçants navigant sur le lac Albert à reprendre leurs activités>> c’est par ce mot que le représentant du chef de chefferie de Bahema Banywagi, sa majesté Freddy MBIJO PANGA s’est exprimé devant la presse à l’issu d’une rencontre dévaluation de la situation sécuritaire dans le littoral du lac Albert à Tchomia ce vendredi. Une rencontre qui a réuni les acteurs politiques de la région, les militaires de forces navale et le commissaire lacustre du lac ainsi que les autres services connexes. Selon ce représentant de l, autorité coutumière, la paix règne et chaque habitant doit reprendre ses activités comme d’habitudes. La force de l’ordre assure la sécurité, toutes les autres activités doivent reprendre. Cette rencontre s’est tenue à Tchomia, qui est le chef-lieu de cette chefferie situe a plus de 55km de Bunia au bord du lac. La population et les activités ont été paralyse dans cette chefferie après accrochage qui a eu lieu entre les force de l’ordre et le présumé groupe rebelle milice de la coalition fidèle à Thomas LUBANGA. Une situation qui a poussé la population à se déplacer de Tchomia vers les autres contrées et même en Ouganda. IBRAHIM DHELO David Partager
Trois étudiants de l’Institut Supérieur des Techniques Médicales, ISTM-Bunia et de l’Université de Bunia, UNIBU ont été abbatu vendredi 14 Mars aux environs de 16h par un militaire en état d’ébriété. La quatrième personne tuée est une tenancière d’un restaurant au Quartier Bankoko. C’est ainsi que la représentation des étudiants du Congo (REC) section Ituri s’est indignée, dans la soirée du même vendredi, du meurtre des étudiants de l’Institut Supérieur des Techniques Médicales (ISTM/Bunia) et de l’Université de Bunia (UNIBU) par un militaire incontrôlé des forces armées, près de l’aéroport national Murongo de Bunia. Dans sa déclaration, elle a mis en garde contre le silence coupable des autorités militaires, menaçant d’engager des actions d’envergures si rien n’est fait pour sanctionner l’auteur du meurtre. «Cet acte barbare commis par un militaire en état d’ivresse est une violation flagrante et une trahison inacceptable du rôle de l’armée, sensée protéger les civils et non les exterminer. Cet incident est loin d’être isolé, et, il est grand temps que les autorités mettent fin à l’impunité qui gangrène les forces armées en Ituri » souligne le communiqué de la REC, lu par Gaël Uvon, son porte-parole occasionnel. La représentation des étudiants de l’Ituri appelle à des actions concrètes contre l’impunité des militaires, devenue, selon elle, une habitude. De son côté, le Porte-parole de l’armée tout en condamnant cet acte qualifie cet acte d’ignoble et d’inacceptable ayant été commis pour la nième fois par un élément des forces armées de la République. « Il s’agit là encore d’un nième cas de meurtre commis par un élément incontrôlé que nous déplorons. Toutes les batteries seront mises en marche pour le sanctionner de façon exemplaire » a indiqué le Lieutenant Jules Ngongo. Signalons que les corps des victimes ont été déposés à la morgue de l’hôpital général de référence de Bunia dans la soirée, alors qu’une manifestation des étudiants a été étouffée par des éléments FARDC près de l’auditorat militaire de l’Ituri, à Bunia. Rédaction. Partager
Il s’agit d’une douche froide que le Nouveau conseiller du Président de la République offre à Thomas Lubanga en travers un extrait de son message à ses frères de l’Ituri ce Vendredi 14 mars 2025. Il commence son message par un regret exprimé: « (…) Pensée pieuse à Madame Yvette Lubanga, ma petite sœur biologique et l’épouse de Monsieur Thomas Lubanga Dyilo (TLD).Par manque de conseillers qui l’aiment sincèrement comme sa défunte épouse, ce dernier n’a plus de repère aujourd’hui pour continuer la mission de pacification que le Président de la République lui avait confiée, via la task force ! » note M. Nyolo. Et de poursuivre :« Je le vois empoisonné idéologiquement par un entourage des pêcheurs en eaux troubles qui vivent en exil en Ouganda sous prétexte que leurs vies seraient en danger en Ituri. Le Président Fatshi, à l’instar de son père, le Héros Papa Étienne, a toujours honoré TLD.Il s’était engagé à réhabiliter son image sur l’échiquier national et international malgré certaines objections des donneurs des leçons occidentaux, le nommant à la tete d’une mission de paix, dotée de moyens conséquents pour une campagne de sensibilisation.Le Président Fatshi a offert un enterrement digne à ma sœur Yvette Lubanga, pour honorer son mari et soulager ses peines, lui qui venait d’apurer ses 14 ans de prison suite à sa condamnation.Il préparait également une nomination de TLD (l’ancien Seigneur de guerre que nous croyons encore converti) pour une responsabilité importante au niveau régional » s’en offusque le Conseiller Nyolo. Mais hélas… « Mais hélas ! Qu’est-ce qui intéresse réellement M. Thomas Lubanga Dyilo ? s’interroge Nyolo. Et sa réponse étonne : « Je refuse de croire à ce que j’apprends. Serait-il en train de monter une bande armée pour chasser militairement l’état de siège proclamé par le Président Fatshi? C’est un manque de réalisme politique. Thomas Lubanga avait toutes les possibilités de discuter avec le Chef de l’Etat pour l’amélioration de la gouvernance sécuritaire en Province de l’Ituri, qui, à mon avis aussi, est réellement defaillante. Les puits d’or sont sécurisés plus que les acouphènes (les grands foyers des peuplements) à cause des mauvais choix de certains commandants pour qui je demanderais des sanctions exemplaires après les enquêtes de l’inspection militaire » souligne t-il. Parailleurs, le Président Fatshi maintient sans atermoiements sa volonté de mettre fin aux massacres en Ituri et d’alléger les mesures restrictives de l’état de siège. Il met des moyens d’action nécessaires pour le succès des opérations militaires. « Je le témoigne » poursuit M. Nyolo.Et avec sa nomination à la Présidence, Jean-Marie Nyolo rassure: « J’ai rejoint son cabinet en ce moment de guerre pour contribuer à l’effort de la pacification de l’Ituri et de tout l’Est en général à travers une construction d’un pacte républicain de paix qui obstruera toutes les voies d’infiltration de l’ennemi du peuple congolais notamment.Je remercie la jeunesse de l’Ituri qui a écouté mes conseils de rejeter l’invitation des M23/AFC et CODECO qui endeuillent nos peuples, déciment nos écosystèmes et organisent une économie criminelle poursuivant le plan belliqueux que son géniteur, la Kabilie de triste mémoire, avait dressé contre nos riches provinces de l’est, nous rendant des esclaves des systèmes Mwangachuchu-Like répliqués sur tout commerce des ressources naturelles et agropastorales de nos Provinces.Je les invite (ces jeunes ituriens) à rejoindre le Conseil consultatif permanent pour la paix via lequel nous nous retrouverons mensuellement à Bunia pour faire le point, bénéficiant de l’expertise de la Division politique et celle des droits humains de la Monusco ainsi que des cabinets des Ministères en charge de l’Intérieur&Sécurité, de la défense et de la justice, en vue de recréer la quiétude et le vivre ensemble qui passe par la justice transitionnelle réparatrices des blessures de nos cœurs » Conclut-il. Rédaction. Partager
Trois mois des vacances parlementaires viennent de s’écouler et les députés nationaux reprennent le chemin de l’hémicycle ce samedi 15 mars 2025. Cette session s’annonce cruciale, avec des réformes législatives majeures en perspective, selon le rapporteur de la chambre basse, le Professeur Jacques Djoli. Parmi les priorités, des projets de loi portant sur la gouvernance institutionnelle, alors que le pays fait face à des défis sécuritaires et économiques importants. Mais c’est surtout la question sécuritaire qui domine les débats. La République démocratique du Congo est toujours confrontée à l’occupation d’une partie de son territoire par le M23/AFC, soutenu par le Rwanda. La Commission Défense et Sécurité doit présenter un rapport stratégique élaboré durant l’intersession, contenant des recommandations pour restaurer l’intégrité territoriale. Ce dossier sensible pourrait raviver les tensions au sein de l’hémicycle. Cette rentrée parlementaire intervient également dans un contexte de forte attente sociale. L’opinion publique et les acteurs politiques scrutent de près les actions des élus, notamment sur la question du respect des engagements pris en matière de gouvernance et de sécurité. La plénière d’ouverture, prévue à 13h, marquera le début d’une session qui s’annonce déterminante pour l’avenir législatif et la stabilité du pays. Rédaction. Partager
Ce vendredi 07 Mars 2025, le maire policier de la ville de Bunia a donné le coût d’envoi aux épreuves préliminaires des examens d’État édition 2025. une cérémonie qui s’est déroulée à l’institut technique Professionnel Alfajiri qui a servit de cadre plus au moins 650 candidats de la ville de Bunia et ces environs. Occasion pour l’inspecteur principal provincial de la province éducationelle Ituri 1 de rassurer les finalistes qui sont dans des zones de conflit en ituri que tout le monde participera aux examens d’État car toutes les dispositions sont déjà prises. <<Le gouvernement a pris de disposition pourque chaque eleve et candidat participant aux épreuves des Exetats sans trop de difficulté>>avait rassuré MBAKAKA MABANGA Sébastien,l’inspecteur principal provincial Ituri 1 de l’Epst. IBRAHIM DHELO David Partager
Depuis plus de quarante-huit heures, l’union des associations culturelles pour le développement de l’Ituri, UNADI en sigle avait organisé un dialogue pour la paix en faveur de toutes les communautés ethniques de la Province de l’Ituri. Objectif visé, trouver les voies et moyens de concilier les communautés qui se regardent en chiens de faïence depuis les dernières tueries perpétrées contre les paisibles citoyens dans le Territoire de Djugu par des miliciens.Cependant dès l’ouverture de ces assises, quelques associations culturelles et particulièrement l’association ENTE réunissant les Hema s’est retirée de la table du dialogue arguant être victime de plusieurs exactions enregistrées contre ses membres depuis 2017 par des miliciens ressortissants de la communauté LENDU. Ainsi, l’association ENTE en travers son Président Maître Ngadjole Dieudonné, formule des préalables avant de regagner les assises dont l’activation des opérations de grande envergure pour neutraliser tous les groupes armés réfractaires au processus P-DDRCS, l’arrestation des auteurs identifiés de graves violations de droits humains documentés par la communauté ENTE et les organisations de droits de l’homme et leur traduction devant les instances judiciaires compétentes suivi de la réparation pour les victimes ou justice transitionnelle car il n’y a pas de paix sans justice afin de parvenir à u dialogue intercommunautaire de vérité réconciliation.Analysant ces préalables, le Député national Nene Kashinde Avodjoa n’a pas manqué de témoigner sa proximité fraternelle à l’endroit de la communauté ENTE et estime pour sa part que toute initiative de paix devrait d’abord être saisie en attendant que tous les préalables soient traité au cas par le cas »Comme évoque la Bible dans Matthieu 5 verset 9, les artisans de la paix, sont appelés fils de Dieu, nous appelons nos frères et sœurs de l’Ituri de saisir l’occasion qui est offerte pour faire la paix tout en rassurant que tous les préalables vont être traité au moment venu et les criminels seront poursuivis et arrêtés par la justice » souligne le Député Kashinde Avodjoa. Par ailleurs, le Député national Nene Kashinde formule le vœux de voir les autorités sécuritaires s’appliquer à instaurer l’autorité de l’Etat étant donné l’histoire de tueries en Ituri perdure »La Province de l’Ituri manque cruellement la paix. D’où notre appel vibrant à l’endroit des autorités provinciales à bouter définitivement les ennemis de l’Ituri » affirme-t-il. Notez que le dialogue ainsi initié par l’UNADI va se clôturer d’ici 48h sur note de quelques recommandations à soumettre aux différentes instances décisionnelles. Rédaction. Partager
Le Complexe Scolaire Bon Berger a sensibilisé ce dimanche 2 mars quelques jeunes de Bunia, ainsi que des élèves de quelques écoles de la ville sur la citoyenneté. Cette activité inscrite dans le cadre de la pratique du cours d’éducation civique et morale s’est déroulée à l’espace Hewa Bora au quartier Hoho, dans la commune Mbunya en ville de Bunia chef-lieu de la province de l’Ituri.D’après Serge Pamoja Mapendo, gestionnaire de l’école Bon Berger, cette activité visait aussi à prier pour la nation congolaise, particulièrement la partie Est qui connait une insécurité grandissante, dont les villes de Goma et Bukavu sous occupation des rebelles du M-23 soutenus par le Rwanda, et des exactions commises dans la province de l’Ituri par les rebelles ADF et des groupes armés locaux.Au cours de cette activité, des poèmes pour la paix, des musiques, des sketchs et des dances traditionnelles appelant à la pratique la paix, tout en interdisant les violences basées sur les genres ont également été au rendez-vous.C’est ainsi, Serge Pamoja Mapendo a exhorté les jeunes à ne pas utiliser des boissons fortement alcoolisées et à éviter la distraction, tout en mettant à l’œuvre pour barrer la route aux agresseurs de la RDC. Ibrahim Dhelo David Partager
Créée en novembre 2019 par quelques associés Congolais et d’autres nationalités, la société à responsabilité limitée PARADIGMA SARL est établie à Bunia, en Province de l’Ituri mais qui, grâce à ses nombreux contacts et relations avec quelques partenaires techniques et financiers, engagée dans plusieurs domaines ce qui fait qu’elle s’est démarquée avec promptitude dans différentes réalisations des contrats gagnés. Société PARADIGMA sarl intervient dans le génie civil notamment dans la construction des bâtiments publics et privés, construction de centrales hydroélectriques, construction de centrales photovoltaïques ,des constructions des routes et aéroports. Il a pu ainsi remporté les marchés, par la facilitation des institutions étatiques établies, dans l’exploitation des matières premières et en soutien à la politique publique en matière de lutte contre la pauvreté, la famine et le chômage, société PARADIGMA sarl intervient aussi dans l’agro-alimentaire par le développement du secteur agricole dans ses diverses filières partant de la production en qualité et quantité jusqu’à la transformation. Par ailleurs, il est à noter que la société PARADIGMA sarl a les atouts nécessaires pour les interventions dans la restauration, la gestion des ressources humaines, le transport, le marketing et communication mais aussi dans la distribution et approvisionnement. Avec une équipe d’experts éparpillée en République démocratique du Congo, en Afrique que dans d’autres continents, PARADIGMA sarl est véritablement une valeur ajoutée dans divers domaines d’intervention. Rédaction. Partager